Hello and welcome to my blog. Here I will share with you my passion about design, the internet, communications, branding and what talented amazing people are creating everyday.
Pleasure Principle
Pleasure Principle
Grill Skill: A Wendy's Training Video
J'espere que toute personne impliquee dans ce video a but a grand verre de Cool-Aid Special juste apres le tournage.
A voir absolument aussi, Stump-Fu" Action! from Mr.No Leggs
Pornocha
Vive le style mexcicano-porno-vectoriel.... le Pornocha quoi? Viva Viva!
Porn+ Bad taste+ Sub culture
Diesel Stylelab
Tres tres Fash Urban Posh
Des excuses pour les elections
192 pages de "I'm sorry". wow
Sorry Everybody
mise a jour:
a ne pas confondre avec : www.imsorry.com apparement l'outil web ideal pour faire parvenir ses excuses, et ses condoléances. un peu macabre absurde, mais c'est la vie sur le web j'imagine...
"* Show the world your apology...Have it placed in the Scrolling Marquis"
Metropark // Gyro Worldwide, Philadelphia
" C'est pour les jeunes fin 20aine et 30aine qui refusent de sacrifier la bonne vie pour un cul-de-sac en banlieu et une minivan"
450 abstenez vous ok?
L'existence est ailleurs
Vendredi soir j'ai enfin eu la chance de débuter ma saison de théatre aux Quat-Sous avec Les Mains, d'Olivier Kemeid et la mise en Scene d'Eric Jean.
Je me suis abstenu de lire la critique jusqu'a ce matin, me laissant la nuit pour me faire un opinion tout seul comme un grand...
Alors, tout comme je me suis dit en sortant de la salle après la représentation, j'ai adoré certains aspects tandis que d'autres m'ont laisse très "blah".
Dans la meme veine et aura que Hyppocampe, Les Mains nous dessine le retour d'un garcon sourd et orphelin apres des années dans l'appartement ou il habitat avec ses parents. La pièce prend place dans la salle de bain partagée d'un bloc appartement de Montréal, centre de rencontre et d'interaction entre les locataires.
On revoit le meme theme du retour en un lieu hanté par des souvenirs troubles a travers la vision d'un jeune garcon désormais jeune homme. La solide influence du style David Lynch, rapiéçant l'intrigue en Mobius Strip nous rapelle encore Mulholland Drive. L'enfant raconte l'histoire a travers le prisme de l'innocence et métamorphose les faits pour en en extraire un sens et surtout pour réduire sa culpabilite du triste denouement.
Chaque personnage se dédouble, chaque detail des locataires s'amplifie jusqu'a en effacer le réel, et on voit une rupture bien precise entre le "vrai" passé et le mythe. Le jeu et l'imaginaire prennent place au réel et protegent notre narrateur des évenements traumatisants qui l'ont orpheliné. Cette experience cathartique nous plonge dans un climat tendu, entrecoupé de moments lucides, laissant progressivement plus de place aux fabulations, expliquant ainsi le mutisme du garcon.
La passion des personnages laisse parfois a desirer mais est-ce peut etre le resultat de voir une histoire d'amour et de jalousie a travers les yeux de l'innocence d'un enfant?
Le défi est très grand pour les acteurs dans ce concept de fusion thématique pour ce retour a la maison, retour a la scène du crime. On y resent une charge lourde et parfois mal équilibrée, en dépit du travail des personnages et de l'ambiance, la finition est absente.
"Tu en fait trop, beaucoup trop" dit Katarina a son mari... Est-ce une auto-critique subtile?
Trop , trop étiré, et trop éparpillé.
Coups de coeur:
Assemblage et dédoublement des personnages
Coups de poings:
Jeu du couple, passion et tension maladroite (esperons que ce soit voulu)
Certaines longueurs. 1:30 aurait put-etre 50 minutes.
6.5/10
Le Voyage de Morvern Callar
Pour ceux et celles qui aiment les films pleins d'action, qui veulent que ca bouge, et que leur retine vibre a chaque explosion ou poursuite en auto, eh bien, vous pouvez passer a autre chose parce que le film qui suit va vous faire mal. Morvern Callar est l'adaptation du roman de Alan Warner réalisé par Lynne Ramsay. L'histoire peint une vignette sur la vie trouble de la jeune Morvern sur la cote Ecossaise, apartir du nihilisme des clubs kids urbain jusqu'a la debauche de la Costa Espagnole. Developement de charactere finement joué par une jeunesse glauque face au suicide et au neant de la nouvelle Generation Perdue
Ceci n'est pas un feel good movie mais il ne nous embaume pas dans une deprime Novembrienne. On y resent des longueurs et des passages sans aucun dialogue dans la meme ambiance que Spider de Cronnenberg (Vous etes avertis!). Essayons de juxtaposer Virgin Suicides de la jeune Coppola avec une vision urban-decay et on resent dans cette réalisation un sorte de malaise insensible du personnage principal.
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Leon “Tes One” Bedore , j'adore son style stencil graf, ca reanime mes vieilles aspirations du guerrila art-vertising.
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